JEANNE CASIMIR
Jeanne Casimir est facialiste. Une reconversion qu’elle a effectuée il y a tout juste 1 an, après une douzaine d’années à travailler dans l’industrie cosmétique. L’entrepreneuse s’est formée et a développé une approche du massage très personnelle, qu’elle mène avec conviction, au service d’un objectif de bien être général. Chardon Paris a souhaité en savoir plus sur son quotidien et lui a fait vider son sac en direct de son espace magnifique au 38, rue des Blancs Manteaux dans le 4eme à Paris.
Qui es tu ?
Je suis Jeanne Casimir. J’ai passé 10 ans à participer au déploiement de la marque australienne Aesop en Europe. J’ai décidé de me former aux techniques du massage du visage pour mieux comprendre le travail des esthéticiennes, au moment où la marque envisageait de développer une offre « spa » dans ses boutiques. Très rapidement, je me suis dit « Oh mince ! J’adore ça ! ». Alors, j’y ai vu un signe et j’ai décidé de me lancer en me formant et en développant ma propre approche. Avant tout, c’est l’impact sur le cerveau, le « reboot » complet qui m’intéresse. Les rides effacées, le visage rebondi et apaisé sont plutôt des conséquences joyeuses de ce travail de déconnexion et de lâcher prise que je mène chez mes clients.
J’ai commencé les massages à domicile en février 2022 et ai ouvert le 23 juin dernier un espace que j’ai pensé comme une expérience totale, au 38, rue des Blancs Manteaux dans le 4eme.
Quel sac utilises tu au quotidien ?
J’utilise et j’use mes sacs jusqu’à la corde. Quand j’ai un sac, c’est sans doute qu’il m’a été offert par ma mère, ma soeur ou une copine. J’en achète rarement. En ce moment, j’ai un sac Rive Droite, offert par une amie à la naissance de ma fille. Il est “en fin de vie”…
Lorsque je suis en déplacement pour me rendre chez mes clients, j’emporte toujours ma trousse de soin à domicile avec les produits QMS Medicosmetics.
Sinon, j’y glisse également toujours 2 pochettes : l’une avec toutes mes cartes (CB, transport, permis..) et l’autre avec tous mes papiers (tickets, ordonnances…). J’y mets aussi mes clés de maison, mes clés du 38 rue des Blancs Manteaux “habillées” avec leur porte clés Chardon Paris; Un soin pour les lèvres La:Bruket et un rouge à lèvres (oui j’ai un petit toc “lèvres”); mes écouteurs emmêlés, mon téléphone et son chargeur, et puis un foulard, un pull, une couche…
Aujourd’hui, je retrouve un ballon, et une sucette en plus !
Quels objets emportes-tu toujours avec toi, tes incontournables ?
Toujours avec moi : mon téléphone, ma cb et un soin pour les lèvres.
Comment retrouves tu tes clés ?
En dehors des clés du 38 rue des Blancs Manteaux, “j’éventre” régulièrement mon sac. Mon mari pourra en témoigner. Très souvent, à chaque fois que j’ai besoin de mes clés, je pose mon sac et je le fouille dans tous les sens pour les retrouver. Cela marche aussi avec la carte de transport devant le tourniquet dans le métro !
En vacances, qu’emportes tu ?
Le même sac et j’y rajoute mes lunettes de soleil, et de la crème solaire.
En vrai, j’adore ne PAS avoir de sac. Le fait de ne rien avoir sur les bras ou à l’épaule est une libération et quand je peux, je mets le strict nécessaire dans mes poches.
Une anecdote (une (més-)aventure avec un sac ...)?
Pas vraiment, à part les mésaventures classiques d’une vie de maman quand on a des enfants en bas âge et que mon sac devient avant tout le leur. Il m’arrive de retrouver des bouts de goûter écrasés, ou j’ai pu aussi sortir une couche à la place d’une pochette !
Les Parisiennes ont elles un rapport spécifique à leur sac ?
Je dirais qu’il y a 2 types de Parisiennes. Celles pour qui le sac est un accessoire à part entière, une extension de leur tenue. Elles investissent dans leur sac, cela fait partie de leur style. Et puis, celles, dont je fais partie qui considèrent avant tout l’aspect fonctionnel du sac.
Un dernier mot ? (devise, mantra, dessin, photo, tout est possible ! )
Dans ma vie d’entrepreneure, je me dis souvent : “ s’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème” pour dédramatiser , et appréhender les aléas de la vie quotidienne avec plus de distance. Je dis aussi souvent à mes enfants « Tant que c’est matériel et que personne n’a eu mal, ce n’est pas grave », ce qu’ils commencent à répéter !
Merci Jeanne !